Vous êtes mère.
Vous avez fait de votre mieux, mais vous regrettez de ne pas avoir pu mieux faire.
Vous avez peut-être blessé, frappé, rejeté votre enfant. Ou encore été absente, silencieuse, ou non protégeante.
Peut-être que votre enfant vous fait des reproches, ou non.
Vous portez en vous du regret, de la culpabilité, des questions sans réponses.
Et si vous aviez la possibilité d’échanger sur votre vécu? Pour comprendre. Pour avancer. Pour rétablir un lien avec vous-même, et amorcer un chemin vers la réparation.
Le CSJR est à la recherche de mères qui reconnaissent et se responsabilisent face à toutes formes de maltraitance ou de négligence envers leur enfant. Sans jugement, nous vous accompagnerons dans un espace de dialogue respectueux, sécuritaire et authentique, pour explorer ce qui s’est passé, ce que vous portez encore, et des avenues de réparation pour vous, et peut-être vers les autres. Nous vous proposerons une démarche de Justice réparatrice avec des personnes qui, quand elles étaient jeunes, ont eu le sentiment de ne pas être protégées par leur mère, d’avoir été maltraitées ou négligées, pour qu’ensemble, vous trouviez un chemin de libération.
Parce qu’on ne peut revenir en arrière, mais qu’on peut avancer autrement … vers l’apaisement.
Si cela vous interpelle, ou pour avoir plus d’informations, nous vous invitons à remplir ce formulaire de contact : https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=HCg2eQkw3Eag3kXvt4YmK2g8hResMClFre_Sq16JoatURTk2WTNNUlFOTDdQNEw1RjZVTFg4MUlPTi4u
Si vous souhaitez participer avez des questions, contactez Laurence Laporte, au 438-378-6708 ou au laurencelaporte@csjr.org
En septembre dernier, le CSJR a eu le plaisir de proposer trois événements pour faire rayonner plus amplement la justice réparatrice.
Samedi 6 septembre, une trentaine de participants ont participé à la deuxième édition de la Marche pour la justice réparatrice. L’événement visait à faire connaître la mission du CSJR et à tisser des liens au sein de la communauté. La matinée a été ponctuée d’échanges autour de la justice réparatrice : activité brise-glace à deux et partage en petits groupes de gestes de réparation que nous avons reçu, offert ou dont nous avons été témoins. Pour l’occasion, des personnes incarcérées ou l’ayant été ont été mobilisés par une bénévole du Comité de la marche pour participer à leur façon à cet événement en confectionnant une banderole avec le slogan « La justice réparatrice, ça marche ! ». Ils ont été touchés par cette invitation à participer et étaient présents à travers leur art. Se retrouver autour des valeurs communes de la justice réparatrice au grand air fait un grand bien.
L’an prochain, le CSJR aura 25 ans alors nous vous donnons rendez-vous pour la 3ème édition de la marche !
Le mercredi 24 septembre a eu lieu le Café Justice réparatrice et paix dans le cadre des Journées de la Paix, une initiative du Réseau pour la paix et l’harmonie sociale. Nous avons proposé à notre communauté un avant-midi inspirant pour comprendre comment la justice réparatrice contribue à la paix. Manon, agente de communication et de sensibilisation au CSJR a tout d’abord présenté « En quoi la justice réparatrice contribue à la paix individuelle et collective ? ». Puis Kim, une ancienne participante à une rencontre de justice réparatrice, est venue témoigner de son parcours de justice réparatrice et de l’impact de cette expérience dans sa vie personnelle mais aussi interpersonnelle et comment cela a contribué à l’amener vers plus de paix. Malgré le fait que l’activité a dû se dérouler en ligne, nous avons toutes et tous été touchés par le témoignage bouleversant et profond de Kim qui a participé à une démarche de justice réparatrice.
Merci Kim pour ce témoignage touchant. Nous tenons également à remercier tous les participants ainsi que notre partenaire le Réseau pour la paix et l’harmonie sociale.
Pour souligner la Journée Vérité et Réconciliation, le CSJR a eu le plaisir de participer au BBQ communautaire et de soutenir le Centre de justice des premiers peuples de Tiohtià:ke/Montréal lors d’une cérémonie de changement de saison jeudi 25 septembre au Square Saint-Louis. Une belle cérémonie de gratitude a été menée par deux aînés autochtones, Jean et Delbert, pour l’equinox de l’automne. Après un BBQ chaleureux, animé par des chants et danses autochtones, des survivants des pensionnats et de rapt ont témoigné de leur histoire poignante et de leur chemin de résilience.
Merci au Centre de justice des premiers peuples de Tiohtià:ke/Montréal pour sa collaboration.
Nous espérons que vous avez apprécié ces activités et qu’à travers elles, vous avez plus amplement compris et expérimenté les valeurs de la justice réparatrice qui peuvent aussi être vécues au quotidien.
Prochaines activités :
Plus d’activités seront communiquées prochainement …
Le CSJR est heureux de se joindre pour la 2ème année consécutive au Centre de Justice des Premiers Peuples de Tiohtià:ke/Montréal pour souligner la Vérité et réconciliation quelques jours avant la Journée nationale de la Vérité et Réconciliation.
Nous vous invitons jeudi 25 septembre à participer au barbecue communautaire ponctué de performances et de témoignages, organisé par notre partenaire.
Date : Jeudi 25 septembre 2025
Heure : 12h à 16h
Lieu : Square Saint-Louis, en face du 3500, av. Laval, Montréal
Inscription non requise
Pour la Journée Vérité et Réconciliation, un cercle de partages sera organisé, animé par deux aînés autochtones, Jean et Delbert. Chacun s’exprimera dans sa langue. La compréhension de l’anglais est préférable.
Tout le monde est bienvenu !
Date : Jeudi 25 septembre 2025
Heure : 10h à 12h
Lieu : Square Saint-Louis, en face du 3500, av. Laval, Montréal
Inscription non requise
Au plaisir de vous retrouver pour ce moment important de notre société.
Pour toutes questions, n’hésitez pas à écrire à manonmazenod@csjr.org ou appeler le 438-493-4733.
La société québécoise a connu une rupture rapide et profonde avec l’Église durant la Révolution tranquille. Beaucoup de blessures liées à cette époque sont restées silencieuses ou enfouies. Par ailleurs, des abus commis par des prêtres, des religieux ou des religieuses ont fait l’objet de poursuites judiciaires sous forme de recours collectif mais sans qu’un espace de dialogue soit nécessairement créé.
Dans une société en transformation, où les liens entre foi, mémoire et identité sont complexes, il est temps d’ouvrir un espace de vérité et d’écoute. Le CSJR vous invite à revisiter ce passé dans le cadre d’une démarche de justice réparatrice axée sur la guérison collective.
Vous souhaitez accueillir la parole de personnes blessées, dans une attitude humble et responsable.
La justice réparatrice propose un chemin humain et respectueux, où les personnes blessées peuvent partager leur histoire, être entendues et reconnues. Ces rencontres ne cherchent pas à effacer le passé, mais à le traverser avec dignité, dans un climat de confiance, de confidentialité et d’humanité.
Ces rencontres sont ouvertes à toutes les personnes qui portent en elles des blessures liées à l’Église, quelles qu’elles soient. Que vous soyez croyant·e ou non, actif·ve ou en rupture, votre expérience compte. Ensemble, créons un espace où la souffrance peut être reconnue, et où l’espérance peut naître.
📍 Lieu : Joliette
📅 Dates : Samedis 25 octobre, 1er, 8 et 22 novembre 2025 (possiblement aussi le 29 novembre)
⏰ Horaire : À déterminer
🚗 Co-voiturage possible
👥 Places limitées à 10 personnes – Même si nous ne pourrons pas prendre toutes les personnes inscrites, nous pourrons voir de quelle manière transmettre vos questions, vos commentaires et vos suggestions à des responsables d’Église.
Pour vous inscrire ou manifestez votre intérêt, cliquez ici.
ℹ️- Plus d’informations auprès d’Estelle Drouvin, estelledrouvin@csjr.org, 514-933-3737 poste 1
Cet article est tiré de le l’infolettre de juin de notre partenaire, l’Institut Healing of Memories en Afrique du Sud.
En mars 2025, alors que l’offre controversée des États-Unis d’accorder le statut de réfugié aux Sud-Africains blancs faisait la une des journaux, une réflexion silencieuse mais profonde s’est déroulée dans une salle d’atelier de Johannesburg. Quinze vétérans des luttes de libération de l’Afrique du Sud – cadres de l’ANC (Congrès national africain)/MK (uMkhonto we Sizwe, branche militaire du Congrès national africain d’Afrique du Sud), anciens soldats de la SANDF (Force de défense nationale sud-africaine) et conjoints de soldats – se sont réunis pour un atelier de guérison des mémoires. Leur objectif ? Faire face au traumatisme personnel persistant des violences de l’apartheid et aux divisions non cicatrisées qui fracturent encore l’âme de l’Afrique du Sud.
Dans le contexte d’une nation fracturée, cet atelier a proposé un contre-discours : le pouvoir de la mémoire collective pour affronter et panser les blessures de l’histoire et la possibilité d’une réconciliation.
Les participants, dont beaucoup étaient endurcis par des décennies de combats et de pertes, sont arrivés avec des attentes aussi vives qu’optimistes : « Je veux enterrer la haine. » « Je veux pardonner. » « J’ai besoin de paix. » Parmi eux se trouvaient des vétérans de l’uMkhonto weSizwe de Tembisa, d’anciens officiers de la SANDF de Pretoria et des femmes dont les défunts maris avaient participé aux combats. Le cœur émotionnel de l’atelier a été la projection d’une vidéo du Père Michael Lapsley (fondateur de l’Institut pour la guérison des mémoires (IHOM), survivant des attentats aux lettres piégées de l’apartheid. Elle a ravivé des souvenirs profondément douloureux, faisant pleurer certains participants ayant vécu ou été témoins de traumatismes similaires.
Plusieurs ont partagé leurs propres histoires douloureuses en réponse, ouvrant un espace de réflexion et de guérison collectives.
Les animateurs ont habilement réorienté les participants, passant du récit de victimisation à la prise de conscience de leur propre pouvoir, grâce à une méthode d’expression comme le dessin et le récit en petits groupes. L’atelier a permis de canaliser la douleur vers la réflexion. Les participants se sont exprimés par le dessin et le récit, ce que certains ont décrit comme une « parole sur papier ». Dans un moment fort, un exercice de dessin a libéré des émotions refoulées depuis des décennies. […] Ces réflexions personnelles ont fait écho au combat national actuel de l’Afrique du Sud : comment reconnaître et honorer la douleur passée sans s’y laisser emprisonner. […]
Le dernier jour de l’atelier, le groupe a organisé une célébration de la « guérison vers le progrès », mêlant « Plea for Africa » de Sibongile Khumalo à des vidéos sur le thème de l’unité, comme « We All Bleed the Same ».
Le changement d’atmosphère, passant de la tension du premier jour au sentiment de connexion du troisième, témoignait de la méthodologie de l’IHOM, celle de « l’amour armé », selon Paulo Freire : un amour qui confronte les dures réalités pour construire la solidarité.
Alors que les Sud-Africains blancs demandent le statut de réfugié aux États-Unis, invoquant les attaques contre les fermes, les politiques de discrimination positive et le déclin économique, cet atelier posait un défi silencieux : une nation peut-elle guérir si ses habitants fuient plutôt que de se faire face ? Alors que le débat américain réduit les complexités de l’Afrique du Sud à des slogans politiques, les témoignages des vétérans ont révélé une vérité plus profonde : les traumatismes non résolus alimentent les cycles de peur et de division.
Pour que l’Afrique du Sud puisse guérir, elle doit prendre en compte non seulement les inégalités matérielles, mais aussi les blessures que l’apartheid et ses conséquences ont infligées à toutes les ethnies. Comme l’a montré l’atelier, la guérison commence par des espaces sûrs où même les souvenirs les plus douloureux peuvent être exprimés, entendus et progressivement transformés.
Partager des expériences personnelles de l’époque de l’apartheid, en particulier lorsqu’il s’agit de personnes issues de groupes différents, peut être difficile, mais nécessaire. Lorsque de tels échanges se concluent par un respect mutuel, une poignée de main, voire un sourire, plutôt que par une offense personnelle, cela marque une étape importante vers la guérison. Cela ouvre également la voie à une compréhension plus profonde : tous les individus ne partagent pas les mêmes points de vue ni ne portent la même responsabilité du passé.
L’atelier de l’IHOM s’est terminé par un engagement des participants à « enseigner et apprendre » de leurs expériences. Pourtant, ses répercussions répondent à un impératif national. Alors que l’Afrique du Sud est aux prises avec le symbolisme de ses citoyens cherchant refuge à l’étranger, ce rassemblement d’anciens combattants – noirs et blancs, membres de l’ANC et de l’ancien régime – offre un modèle. La guérison n’est pas un luxe ; c’est le fondement d’une société où chacun choisit de rester et de se reconstruire.
La transformation est un cheminement, pas une destination. Pour l’Afrique du Sud, ce cheminement exige davantage d’ateliers, davantage de dialogues et davantage de courage pour affronter le passé, non pas comme un fossé, mais comme un pont. L’alternative est une nation fracturée non seulement par la race ou la classe sociale, mais aussi par les souvenirs non cicatrisés qui divisent son peuple.
« Nous ne pouvons guérir ce que nous ne reconnaissons pas. Nous ne pouvons construire la paix sans affronter les guerres qui nous habitent ». Adapté des réflexions des participants à l’atelier.
L’atelier Guérison des mémoires est offert au Québec deux fois/an par le CSJR. Il est né du partenariat avec l’Institut Healing of Memories en Afrique du Sud.
Il s’adresse à toutes personnes souhaitant avancer sur son chemin de guérison dans un espace sécuritaire.
Pour en savoir plus sur l’atelier offert au Québec et connaître la prochaine date de l’atelier, cliquez ci-dessous :
Cet article est le 2ème article d’une série de 2 sur l’atelier Opération découverte de la justice réparatrice proposé par le CSJR dans les prisons du Québec depuis 2023.
Lire l’article 1 : Naissance et présentation du l’atelier Opération découverte de la justice réparatrice, ici
Quel est l’impact de l’atelier Opération découverte de la justice réparatrice auprès de ses participants ?
Pour les détenus, il y a tout d’abord la découverte d’un nouveau service auquel ils peuvent avoir accès : la justice réparatrice. Ils se rendent compte à travers cet atelier d’introduction qu’une préparation est nécessaire pour réaliser ce processus. Ensuite, ces ateliers amènent une prise de conscience plus ou moins profonde des participants sur leur vie, leur parcours, leur choix, leurs actes et les conséquences de leurs gestes sur eux-mêmes et les autres, dont leur famille.
Par ailleurs, cet atelier a eu des effets sur le comportement même des participants : apaisement des relations interpersonnelles en milieu carcéral, remplacement de gestes de violence par des gestes de non-violence et changement de leurs réactions habituelles face aux situations et événements quotidiens.
Ces ateliers encouragent aussi les participants à réparer les actes commis auprès des personnes victimes, de leur famille ou autre. Cela peut éveiller la volonté de donner un meilleur exemple auprès de leurs enfants en changeant leurs comportements. Cela peut les encourager à sortir du cycle de violence.
L’impact n’est bien sûr pas aussi fort que dans une rencontre de justice réparatrice en présence de personnes ayant été victimes, mais cela peut les préparer à ce type de rencontres. Tout le monde n’est pas forcément prêt ou n’a pas nécessairement le désir de faire une rencontre de justice réparatrice. Ainsi, des ateliers de sensibilisation représente un premier pas vers la réparation et la justice réparatrice.
Pour ce qui est d’un impact plus large, au niveau sociétal, ces ateliers et les démarches de justice réparatrice contribuent à renforcer la sécurité de notre communauté, car des individus qui ont commis des actes de violence se responsabilisent dans leurs actes et leurs choix et prennent conscience des conséquences du crime qu’ils ont commis.
Qu’est-ce qui motive Raoul à animer cet atelier ?
Les proches de Raoul lui demandent souvent comment il fait pour ne pas sortir déprimé des rencontres qu’il anime en milieu carcéral alors qu’il entend souvent des choses difficiles. Il répond que cela lui apporte un enrichissement, l’ouvre sur une plus grande compréhension des autres, et le fait grandir en humanité. Il ajoute que cela le réconforte de voir les efforts que les participants font pour s’en sortir, pour régler des contentieux du passé, ou encore pour se libérer de leurs souffrances. Pour lui, contribuer à faire cheminer ces personnes lui apporte de l’énergie, plus que cela ne lui en prend. Il participe à la justice réparatrice depuis de 25 ans, mais il est toujours touché par la confiance que les gens lui accordent en partageant leur vie personnelle. Il est aussi heureux et motivé par les remerciements et les retours positifs que les participants lui partagent à l’issue de ces processus.
Et après ?
À la vue de l’engouement face à ces ateliers, Raoul va offrir prochainement l’atelier Opération découverte de la justice réparatrice dans deux nouveaux lieux : au pénitencier de Cowansville et dans une maison de transition. Par ailleurs, de nouveaux ateliers sont programmés tout au long de l’année aux pénitenciers de Port-Cartier, de Drummonville et de Cowansville. Raoul aimerait pouvoir offrir plus d’ateliers, et se réjouit de former quelques nouvelles personnes aptes à animer cet atelier.
Si vous souhaitez soutenir la tenue de ces ateliers et les autres activités inspirantes du CSJR, n’hésitez pas à faire un don. Cela nous aidera beaucoup à rendre pérenne la grande mission du CSJR.
Vous avez commis ou subi de la violence ayant entraîné des ruptures familiales ?
Les blessures causées par tous types de violence ne se limitent pas aux événements eux-mêmes. Au-delà des conséquences directes, tant les personnes victimes que les personnes offenseuses sont confrontées aux réactions de leur famille.
Parmi les répercussions les plus douloureuses, on retrouve souvent la rupture avec la famille : qu’il s’agisse d’un éloignement, d’un silence, d’un rejet, d’un jugement ou d’une perte de confiance, les conséquences de la violence dépassent les faits et laissent des marques profondes dans les relations.
Le CSJR propose un nouvel atelier portant sur les ruptures familiales découlant d’un acte criminel, commis ou subi. Accompagnés par deux animateurs, les participants exploreront leurs blessures, les conséquences de ces ruptures et comment entrevoir un chemin de réparation vers un apaisement intérieur — quelle que soit la direction choisie.
📅 Dates : Samedi 23 août et dimanche 24 août, de 9h30 à 16h
📍 Lieu : CSJR, 7333 rue St-Denis, Montréal
💰 Coût : Une contribution de 30 $, 50 $ ou 80 $ est suggérée, selon les moyens de chacun et chacune.
Les places sont limitées à 8 personnes.
Si vous ne pouvez pas participer aux dates indiquées mais que la démarche vous intéresse, vous pouvez nous le mentionner dans le formulaire.
Dans le cadre des Journées de la paix 2025, le Centre de services de justice réparatrice (CSJR) vous invite mercredi 24 septembre de 10h à 12h à une rencontre autour d’un café pour explorer ensemble comment la justice réparatrice contribue à la paix individuelle et collective.
La justice réparatrice répare notre tissu social et construit des ponts, là où le dialogue paraît impossible. Elle contribue de ce fait à la paix sociale en plus de contribuer au chemin vers la paix intérieure des participants.
Le CSJR vous accueillera dans ses locaux et en ligne pour une rencontre de 2h. Au programme :
L’événement se déroulement dans nos locaux aux 7333, rue Saint-Denis à Montréal et en ligne. Le lien vous sera envoyé quelques jours avant l’événement.
Le nombre de place sur place dans les locaux du CSJR est limité à 30 places. Pas de limite pour l’événement en ligne.
Réservez votre place pour cet événement gratuit !
Qu’est-ce que les Journées de la paix ?
Les Journées de la paix se déroulent chaque année du 21 septembre au 2 octobre, soit de la Journée internationale de la paix à la Journée internationale de la non-violence et sont une initiative de notre partenaire, le Réseau pour la paix et l’harmonie sociale.
Découvrez toutes la programmation des Journées de la paix qui proposent plus de 90 activités !