Le CSJR a été invité à participer à une table-ronde sur le droit des victimes à l’information dans le système correctionnel fédéral et le processus de mise en liberté sous condition.
Les 4 et 5 mars, à Ottawa, une quarantaine de personnes de tout le Canada s’est informé sur les avancées concernant ce droit et a échangé sur la manière de le rendre encore plus effectif. Ce fut l’occasion de mieux connaître les démarches réalisées par le Bureau national pour les victimes d’actes criminels (BNVAC), le Service Correctionnel du Canada (SCC) et la Commision des libérations conditionnelles du Canada (CLCC). Deux focus ont été mis, l’un sur la diffusion de l’information auprès des personnes handicapées et l’autre sur la justice réparatrice.
Serge Charbonneau, médiateur au SCC, a présenté les possibilités de justice réparatrice offertes par le SCC et Sarah Bureau a témoigné, avec force et conviction, de son expérience positive de justice réparatrice, tant avec le CSJR (rencontres détenus-victimes) qu’avec le SCC (médiation directe). Elle a rappelé l’importance d’offrir cette information, de manière pro-active, aux personnes victimes, et la complémentarité des différentes approches de justice réparatrice.
La délégation québécoise était constituée des personnes suivantes:
- Arlène Gaudreault de l’AQPV
- Marie-Christine Michaud, du Réseau des CAVAC
- Monique Villeneuve de CPIVAS
- Estelle Drouvin du CSJR
Une belle opportunité de renforcer les partenariats entre nos organismes.