Mea culpa, nouvelle série sur la justice réparatrice 

22 août 2024

Cet automne, une nouvelle série mettra en lumière la justice réparatrice. Cette production mettra en vedette Melissa Désormeaux-Poulin dans le rôle d’une médiatrice spécialisée en justice réparatrice, entourée d’une distribution talentueuse de comédiens et comédiennes. Sa diffusion est prévue sur ICI TÉLÉ pour la saison 2024-2025.

Synopsis de Mea culpa

« Dans un centre de justice réparatrice, Bérénice (Mélissa Désormeaux-Poulin) accompagne la démarche de gens victimes d’actes criminels ou qui les ont commis, pour favoriser un dialogue entre eux et la réparation des torts causés. Son objectif : aider ces personnes profondément blessées à tourner une page traumatisante de leur histoire pour mieux profiter de leur présent et de leur avenir.

Bérénice n’a pas choisi son métier sans raison. Il y a 25 ans, elle et ses meilleurs amis ont été marqués à jamais par une brutale agression lors d’une fête de fin d’année collégiale. L’une d’elle a été tuée, un autre est devenu quadriplégique. Le coupable a obtenu sa libération conditionnelle après avoir purgé une sentence à vie de 23 ans et revient dans leur vie. Bérénice espère entreprendre une démarche en médiation avec ce dernier, mais réussira-t-elle à convaincre ses amis?

Au fil des discussions, confrontations et rencontres bouleversantes qui s’ensuivent, des secrets bien gardés sortent au grand jour… La confiance entre les amis en est fortement ébranlée, tandis qu’une grande question perdure : peut-on réellement croire à la réhabilitation d’un meurtrier? Et plus largement, quand la colère, le sentiment d’injustice et la peine hantent toujours les victimes directes, collatérales et le public en général, comment peut-on savoir qui, de l’agresseur ou de l’agressé, est le plus en « danger », même après plusieurs années? C’est ce que les protagonistes de Mea Culpa nous feront découvrir au fil des 12 épisodes… »

Écoutez

« Le concept de justice réparatrice, ça fait depuis longtemps que j’en entends parler, que ça m’intéresse. Ça fait un écho à mon scénario. Elle était cinq, qui parlait d’un événement assez personnel, qui est arrivé dans mon entourage, et évidemment très romancé dans le film. La violence faite aux femmes, c’est un sujet qui m’habite, qui m’interpelle. Et je me demandais ce qu’on fait avec des agresseurs quand ils survivent aux crimes qu’ils ont commis. Quand on les remet en circulation dans la société, comment réagit-on? Est-ce qu’on croit en leur réhabilitation ? ».

En savoir plus sur la justice réparatrice

Centre de services de justice réparatrice | 7333 rue Saint Denis, Montréal Qc H2R2E5 | 514 933-3737 | csjr@csjr.org 

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