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Debout : Atelier de mouvement dessin sur le thème de la justice réparatrice
Dans le cadre de la Semaine des victimes et survivants d’actes criminels, nous vous offrons un atelier mouvement-dessin, en collaboration avec la compagnie Montréal Danse et la Société Elizabeth Fry du Québec. Cet atelier est pensé comme un moment où chacune, avec ses expériences et ses particularités propres, peut porter attention à son corps, ses sensations et ses mouvements, dans un espace sécuritaire.
« Debout » ouvre peut-être la possibilité d’être « survivace », d’apparaître, de se délier, de trouver de nouveaux chemins, de reprendre pouvoir et de se réapproprier son corps, son espace, son histoire.
L’atelier débutera par des explorations en mouvements, animées par Rachel Harris, danseuse professionnelle et facilitatrice depuis 2010 pour Montréal Danse/Danse contre la violence. Il se poursuivra avec une période de dessin, guidée par Valérie Descroisselles-Savoie, formée en art-thérapie et intervenante à la Société Elizabeth Fry du Québec.
Détails de l’atelier
👥 Pour qui ? Toutes les femmes intéressées par la proposition de cet atelier, qu’elles soient victimes et/ou judiciarisées, ou non. Aucune expérience en danse, en dessin ou autres compétences spécifiques ne sont requises.
🕘Quand ? Mardi 13 mai 2025, de 18h à 20h00
📍Où ? Dans les locaux du CSJR (7333, rue Saint-Denis, Montréal)
👟 Équipement : Apporter des vêtements confortables pour bouger. Il est possible de danser en chaussettes, mais si vous êtes plus confortables en souliers, apportez des espadrilles ou des souliers confortables.
💲Coût : Contribution volontaire, non obligatoire. Cela contribue à l’organisation de l’atelier.
📝 Inscription : inscription obligatoire (nous vous contacterons par la suite pour confirmer votre participation) Nombre de places : 12
Quelques témoignages de notre atelier de novembre 2024
J’ai vécu cet atelier comme un moment de rencontre avec moi, et entre femmes vulnérables, dans un lieu sécure. Moment de qualité vécu dans la droite ligne du we de guérison des mémoires que je venais de vivre avec le CSJR. Expression corporelle guidée et expression artistique libre: le tout en souplesse avec beaucoup de respect. Ça m’a confirmé sur le chemin que j’en venais de parcourir. Activité à continuer d’offrir absolument! Hélène
It was such a welcoming and supportive environment. I felt I could really open up and I learned so much! I took away with me a feeling of empowerment and confidence. It truly inspired me!! I took away so much! Teresa
En ce qui me concerne, l’expérience a été émouvante. L’atelier de danse fait en sorte de se connecter avec son corps, son ressenti et l’espace autour de soi. Un exercice qui a été quelque peu difficile et a fait remonter beaucoup d’émotions sans que je ne puisse vraiment les contrôler. Un mal nécessaire quelquefois pour soulager un peu son âme. L’atelier de dessin qui a suivi m’a permis de méditer en un certain sens, je me suis concentré sur le traits et les couleurs sur la feuille et pendant quelques minutes j’ai pu un peu oublier ma colère et me connecter avec mon enfant intérieur sans trop de douleur. La bienveillance dans la salle était palpable et elle a sans nul doute contribué à tout cela. Merci encore de m’avoir permis de participer, le chemin de mon apaisement est encore long, sombre et tortueux mais cet atelier l’a un peu éclairé… Nadia
Assemblée Générale Annuelle – 2025
🗓️ Invitation à l’Assemblée générale annuelle du CSJR 🕊️
Le CSJR vous convie à son Assemblée générale annuelle le vendredi 23 mai 2025 à la Maison de Mère Youville, au 138, rue Saint-Pierre, Montréal (Qc) H2Y 2L7.
👉 Dès 17h, nous vous accueillons pour un moment convivial autour d’un potluck. 👉 L’Assemblée générale débutera à 18h30.
C’est l’occasion : • de découvrir nos réalisations de la dernière année, • d’en apprendre plus sur nos projets à venir, • d’échanger avec l’équipe et les membres du conseil d’administration, • et de participer à la vie démocratique du CSJR.
📣 L’AGA est ouverte à toutes et tous. Les membres en règle pourront voter. Il est toujours temps de renouveler votre adhésion ou de devenir membre : Devenir membre
Votre voix compte. Ensemble, continuons de bâtir une société plus juste et réparatrice. 💛
Évènement podcast vivant : quand l’art et la justice se rencontrent
« Une justice qui écoute, une parole qui répare. »
🗓️ Samedi 17 mai 2025 🕒 14h à 16h 📍 Maison du développement durable – 50 Rue Sainte-Catherine, Montréal, QC H2X 3V4 – Métro Saint-Laurent 🧑🦽 accessible aux personnes à mobilité réduite
Dans le cadre de la Semaine des personnes victimes et survivantes d’acte criminel, le Centre de services de justice réparatrice (CSJR) vous invite à une expérience unique : un podcast vivant où art, récits personnels et justice réparatrice s’entrelacent pour ouvrir des chemins de guérison.
🎙️ AU PROGRAMME Ce moment fort prendra la forme d’un enregistrement public durant lequel nos invités s’exprimeront à tour de rôle répondant aux questions de Catherine Ego, notre animatrice, et les questions du public dans la salle et en ligne. Une rencontre vivante et sensible autour de l’expérience humaine de la justice réparatrice.
Venez en apprendre plus sur la justice réparatrice et comment l’art peut aider à transformer des récits et la société.
Avec la participation de :
Dany Boudreault, comédien dans la série Mea Culpa
Geneviève Rioux, autrice, comédienne et porte-parole du CSJR
Marie-Stéphane Rainville, co-présidente du CSJR et participante à une démarche de justice réparatrice
Animé par Catherine Ego, animatrice radio
🍪 Un café-gourmand vous attend sur place, dans une ambiance conviviale propice aux échanges et aux rencontres.
🎟️ Entrée gratuite – inscription requise
🗣️ L’évènement sera en français
Qui est le CSJR ? Le Centre de services de justice réparatrice crée des espaces d’expression, d’écoute et de partage entre des personnes et/ou des groupes qui ont été touchés par des situations d’abus et de violences, judiciarisées ou non judiciarisées. Sa raison d’être : Réparer l’avenir ensemble
Cet événement est financé par le Ministère de la Justice du Canada que nous remercierons chaleureusement.
Renouer avec l’espérance : des rencontres de justice réparatrice sur les abus au sein de l’Église
Renouer avec l’espérance : des rencontres de justice réparatrice sur les abus au sein de l’Église
La société québécoise a connu une rupture rapide et profonde avec l’Église durant la Révolution tranquille. Beaucoup de blessures liées à cette époque sont restées silencieuses ou enfouies. Par ailleurs, des abus commis par des prêtres, des religieux ou des religieuses ont fait l’objet de poursuites judiciaires sous forme de recours collectif mais sans qu’un espace de dialogue soit nécessairement créé.
Dans une société en transformation, où les liens entre foi, mémoire et identité sont complexes, il est temps d’ouvrir un espace de vérité et d’écoute. Le CSJR vous invite à revisiter ce passé dans le cadre d’une démarche de justice réparatrice axée sur la guérison collective.
Vous avez été blessé·e par un prêtre, des membres d’une communauté religieuse ou travaillant dans une Église, des représentants d’Église ? Par des paroles, des gestes, un silence, une absence ou un abus spirituel ? Vous portez en vous une douleur liée à votre expérience dans un cadre religieux
Vous reconnaissez et regrettez des abus au sein d’Églises, que vous en ayez commis directement ou à titre de représentants ?
Vous souhaitez accueillir la parole de personnes blessées, dans une attitude humble et responsable.
La justice réparatrice propose un chemin humain et respectueux, où les personnes blessées peuvent partager leur histoire, être entendues et reconnues. Ces rencontres ne cherchent pas à effacer le passé, mais à le traverser avec dignité, dans un climat de confiance, de confidentialité et d’humanité.
Pourquoi participer ?
Pour faire entendre votre voix dans un cadre sécuritaire et bienveillant
Pour cheminer vers une forme de réparation, à votre rythme
Pour briser le silence et contribuer à une mémoire collective plus juste
Un appel au courage et à la guérison
Ces rencontres sont ouvertes à toutes les personnes qui portent en elles des blessures liées à l’Église, quelles qu’elles soient. Que vous soyez croyant·e ou non, actif·ve ou en rupture, votre expérience compte. Ensemble, créons un espace où la souffrance peut être reconnue, et où l’espérance peut naître.
📍 Lieu : Joliette 📅 Dates : Samedis 25 octobre, 1er, 8 et 22 novembre 2025 (possiblement aussi le 29 novembre) ⏰ Horaire : À déterminer 🚗 Co-voiturage possible 👥 Places limitées à 10 personnes
Pour vous inscrire ou manifestez votre intérêt, cliquez ici.
ℹ️- Plus d’informations auprès d’Estelle Drouvin, estelledrouvin@csjr.org, 514-933-3737 poste 1
La réparation d’une mémoire familiale
Michel Dongois est membre du CSJR. En septembre dernier, il a participé à la marche de la justice réparatrice sur le thème des gestes réparateurs. Nous ne savions pas le périple qu’il s’apprêtait à vivre. Il avait planifié de se rendre dans le camp de prisonniers où son père, soldat français, avait été emprisonné pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a décidé de décaler la date de son voyage afin de l’amorcer après la marche de la justice réparatrice. Le thème des gestes réparateurs prenait tout son sens dans son projet personnel. C’est le récit du voyage de Michel et d’Ingrid que nous vous présentons ici. *Les propos partagés dans ces articles n’engagent que leurs auteurs.
Quand faire mémoire ensemble adoucit le trauma
Ingrid Krause
À l’automne de leur vie, Ingrid Krause et Michel Dongois relatent l’expérience traumatisante des camps de prisonniers de guerre, telle que leurs pères respectifs la leur ont transmise. Durant la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945), Eduard Krause, soldat allemand, a vécu la captivité en Russie. Soldat français, Maurice Dongois connut le même sort en Allemagne.
Permettre d’exprimer ce qui a été vécu, sans apitoiement, contribue déjà à réparer, à guérir la mémoire.
Certains mots de ce récit – expulsés, réfugiés, camps – sont tristement contemporains. Il évoque cependant aussi, avec discrétion, l’espoir, l’entraide et les prises de conscience. L’ouverture vers l’avenir également : le 25 avril 2025, Américains et Russes devraient célébrer cette année encore le Jour de l’Elbe. En rappel de la rencontre d’avril 1945 où, sur les rives de ce fleuve, ils se sont brièvement donné la main.
Découvrez ci-dessous les deux articles de Michel Dongois et Ingrid Krause. Bonne lecture !
Du 25 au 27 avril 2025, le Centre de services de justice réparatrice (CSJR) organise un atelier Guérison des mémoires à Granby. Cet atelier unique offre un espace bienveillant pour toutes les personnes qui portent en elles des blessures du passé et souhaitent amorcer un cheminement vers l’apaisement et la réconciliation.
Pourquoi participer ?
Nous sommes tous porteurs d’expériences de vie marquées par des événements qui ont laissé des traces, que ce soit sur le plan personnel, familial ou collectif. Inspiré des principes de la justice réparatrice, l’atelier Guérison des mémoires propose une démarche qui permet d’explorer ces blessures en profondeur, dans un cadre structuré et sécurisant.
Grâce à des moments de partage, d’écoute et d’expression créative, les participants sont invités à raconter leur histoire dans un esprit de respect et de confiance. Ce processus favorise une meilleure compréhension de soi et des autres, et ouvre la voie à un sentiment de libération et de reconstruction.
Un atelier reconnu à travers le monde
Développé en Afrique du Sud par Michael Lapsley, fondateur de l’Institut Healing of Memories, l’atelier Guérison des mémoires est aujourd’hui proposé dans plusieurs pays à travers l’Afrique, l’Asie, l’Europe et l’Amérique. Depuis 2016, le CSJR l’offre au Québec afin de permettre aux personnes de réconcilier leur histoire et avancer avec plus de sérénité.
Sa formule
L’atelier est constitué de temps de partages et d’écoute, de créativité et de rencontres.
Regroupant 24 personnes, il est proposé en format d’une fin de semaine (du vendredi soir au dimanche après-midi) en pension complète dans un lieu propice au recueillement (des mini-ateliers peuvent également se donner en virtuel). L’atelier inclut une rencontre de suivi 3 mois plus tard pour se revoir et regarder ensemble le chemin parcouru depuis. Un atelier phase II est aussi proposé par la suite.
Coût de l’atelier
Coût suggéré pour un atelier en présentiel : 495 $
Le prix comprend l’atelier, l’hébergement et la nourriture Toutefois, si les frais s’avéraient un obstacle à votre participation, sachez que nous ne refusons personne pour des questions financières. Vous pouvez contribuer à la hauteur de vos moyens.
Inscrivez-vous dès maintenant !
Les places étant limitées, nous vous invitons à réserver votre place dès aujourd’hui. Pour plus d’informations ou pour vous inscrire :
« Même pas morte » de Geneviève Rioux : un roman bouleversant
Deux membres du CSJR ont récemment terminé la lecture du nouveau roman Même pas morte de Geneviève Rioux, porte-parole du CSJR. Tous deux ont été soufflés par l’écriture poignante, précise et profondément humaine de l’autrice. Ils ont beaucoup aimé ce roman et le recommandent vivement. Ils partagent ici leurs impressions sur cette lecture marquante.
*Les propos partagés sont ceux de leurs auteurs et non du CSJR.
L’avis de Raoul, animateur de rencontres de justice réparatrice
« Quel talent pour nous tenir en haleine dans le cadre d’une agression d’une rare violence suivie d’une enquête policière abondamment exploitée ! Elle nous en apprend tellement plus que ce que nous pensons savoir sur ces deux sujets.
Tout cela s’inscrit dans un contexte d’analyse fine et de réflexion approfondie sur les séquelles d’un choc post-traumatique. Tout au long du récit, elle décrit toute la gamme des émotions qui en découlent, comme une « saine » colère, le désarroi face à la découverte de l’identité de son agresseur – un proche –, ce qui la fait passer du doute à la terreur.
C’est une écriture d’un style direct, cru, qui s’atténue progressivement sans complètement disparaître au fil du déroulement de l’histoire. Une astuce d’écriture la sert bien : elle adresse fréquemment des réflexions et commentaires à son agresseur, inconnu dans un premier temps, puis soupçonné ensuite.
Une fois ces commentaires émis, on ne peut s’empêcher de se demander : comment a-t-elle pu écrire ce roman en sachant qu’il découle de sa propre expérience si traumatisante ?
Cela met en lumière une force exceptionnelle.
Je ne peux m’empêcher de penser que cette œuvre d’écriture a aussi pu contribuer à « exorciser » ses propres souffrances.
Je cite deux phrases qui, pour moi, cristallisent son ouverture de cœur dans ce sens :
« Le plus difficile n’est pas d’être courageuse, mais d’être vulnérable. »
« Je pense sincèrement que les gens qui font des choses horribles doivent obtenir une sentence pour leurs actes. Mais je crois que personne ne devrait être seul dans sa vie… »
Raoul Lincourt conseille ce roman autant pour son suspense que pour les apprentissages qu’il offre sur ce type d’agression, le fonctionnement de la police et du système judiciaire, sans oublier l’IVAC. La façon dont ces derniers points sont abordés aide à se réconcilier avec les bavures qui ont pu être entendues.
L’avis de Dominique, co-présidente du CSJR
Je viens de terminer Même pas morte. Ouf ! Quel récit ! Quel souffle dans l’écriture ! Que de trouvailles stylistiques ingénieuses, comme celle d’appeler son agresseur « Toé » avant de connaître son nom, celle de parler d’elle à la troisième personne, ou encore ces phrases simples, courtes, directes…
Les premières pages sont presque insoutenables (en tout cas pour mon petit cœur fragile qui se tient généralement loin des thrillers d’horreur). Lorsque l’on survit à ces premiers chapitres, ce qui m’a frappée tout au long du récit, c’est la dignité et l’humanité du personnage principal qui, à chaque instant, affiche autant sa vulnérabilité que sa force et sa soif de vivre dans la dignité. J’ai lu ces lignes comme un long « NON » à la mort, « NON » à la résignation.
Comment survivre à une telle agression ? Comment survivre à une telle trahison ? En partie par la parole et par l’écriture, comme ultimes armes de résistance, comme moyens de dire : « Non, tu n’auras pas ma peau, et c’est moi qui aurai le dernier mot. »
N’hésitez pas à vous procurer le roman de Geneviève Rioux, disponible dans toutes les librairies aux éditions Stanké. Pensez à acheter local et québécois en l’achetant directement sur le site de l’éditeur ou chez LesLibraires.ca.
À découvrir : le tout nouveau portfolio du CSJR
À découvrir : le tout nouveau portfolio du CSJR ! 📖
Plongez au cœur de notre mission et de nos services à travers ce portfolio entièrement repensé. Vous y découvrirez notre mission, nos fondements, l’impact de nos activités, ainsi que des témoignages inspirants de personnes ayant bénéficié de nos services.
Un grand merci à Céline Bonte pour la mise en page ! 🙌